Test-ACTH
PPID

Le diagnostic précoce de la PPID permet de prévenir une série de symptômes de maladies concomitantes. Un traitement, une alimentation et des médicaments adéquats permettent généralement au cheval de mener à nouveau une vie heureuse en bonne santé. Assez de raisons donc pour être optimiste car la PPID peut être traitée !

Le test ACTH pour tester la PPID

Vous pensez que votre cheval ou votre poney est atteint de PPID, également connu sous le nom de maladie de Cushing chez les chevaux ? La manière la plus simple et la plus courante de tester la PPID est le test ACTH. Pour effectuer ce test, votre vétérinaire prélèvera un échantillon de sang sur le cheval en question, qui sera envoyé au laboratoire pour analyse. Le résultat de ce test est généralement connu en quelques jours. Dans un test ACTH on détermine les concentrations de différentes hormones et autres substances dans le sang. Les résultats de ce test sont comparés aux valeurs normales mesurées sur des chevaux en bonne santé. Une concentration accrue d'ACTH facilite le diagnostic de la maladie PPID.

Dans certains cas, il est possible de diagnostiquer la PPID sur base d'un examen clinique et des antécédents médicaux du cheval ou du poney. Un test ATCH vous donne la certitude et vous pouvez établir un plan de traitement en collaboration avec votre vétérinaire.

Mon cheval souffre de PPID. Que faire ?

La PPID est une maladie qui se traite et le pronostic est bon dans la plupart des cas. Le diagnostic précoce de la PPID chez le cheval à l'aide d'un test ACTH permet de prévenir l'apparition de divers symptômes. Bien qu'un cheval atteint de PPID ne puisse pas vraiment être guéri, un traitement et des soins adaptés permettent généralement de s'assurer que le cheval peut continuer de vivre très correctement, en forme.

En savoir plus sur les traitements possibles

La PPID, est-elle courante ?

Oui, la PPID est courante. La maladie est généralement observée chez les chevaux d'âge moyen ou plus âgés (plus de 15 ans). Certaines études montrent que 15 à 30 % des chevaux de cette tranche d'âge souffrent plus ou moins de cette affection. Cependant, la PPID est également régulièrement diagnostiquée chez les animaux plus jeunes.

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